Rocco Venti/fr
Rocco Venti est un micronationaliste français connu des micronations numériques notamment sur la plateforme Discord. En outre, il a joué un rôle dans la République de Fiera, la Principauté de Neustrie, et les organisations intergouvernementales comme l'Union des Micronations Francophones Unies (OMFU)
Curriculum Vitæ
Rocco Venti, souvent appelé simplement par son nom, Venti, s'est fait un CV particulier au sein des micronations en accédant à des postes plus ou moins prestigieux.
Politique 1. Chef d'État - Président de la République de Fiera 2. Chef de Gouvernement - Président de la République de Fiera 3. Député de l'Assemblée micronationale (Fiera) 4. Président du Mouvement National Fierien (Fiera) 5. Président du Parti National-Démocrate (Fiera) 6. Président de l'Union Chrétienne - Libérale et Conservatrice (Neustrie) 7. Président de la Grande Alliance Patriotique et Démocratique de Fiera 8. Vice-président du Parti des Chrétiens de Gauche de Zergue (Zergue)
Entrepreneuriat 1. Directeur général du Neustrien Indépendant 2. Directeur général de l'Immédiat & du Point Express 3. Directeur adjoint de l'Agence de Presse Inter-Micronationale 4. Chef de rédaction de l'Immédiat & du Point Express 5. Journaliste du même journal
Opinions politiques
Rocco Venti se revendique de la droite nationale et souverainiste. L'ambiguïté perdure sur l'économie : d'abord classé à la droite sociale pendant sa présidence de Fiera, il devient plus libéral en Neustrie, où il gère sa nouvelle entreprise. En outre, on peut classer des idéologies comme tel : - Démocratie chrétienne - Conservatisme - Souverainisme - Nationalisme modéré - Tantôt libéral, tantôt social - Antimarxisme - Monarchisme
Chef de file de la droite de Fiera
Rocco Venti, alors citoyen de la République de Fiera, s'engage en politique pour soutenir la droite nationale à laquelle il appartient en vue des élections présidentielles qui se profilent. Il prend sa carte au Parti National-Démocrate aussitôt avoir lu le programme de son chef Wilfrid Orochi, se voulant souverainiste, anticommuniste, patriote et nationaliste. Il a été séduit en particulier par sa vision souverainiste : les micronations doivent être dans un cadre libertaire pour ainsi protéger leur souveraineté.
En effet, la diplomatie intermicronationale est dominée par l'Organisation des Micronations Francophones Unies (OMFU), organisation intergouvernementale dirigée de manière autoritaire par un militant d'extrême gauche, qui avait admis son hostilité à la démocratie. Celui-ci avait une politique très restrictive, voire colonialiste : la souveraineté des micronations était largement limitée et mise sous contrôle de l'OMFU, notamment en ce qui concerne l'économie (monnaie unique gérée par l'OMFU), la société (obligation d'être un pays laïc), ou la défense nationale (interdiction de se militariser). Par ailleurs, la direction de l'OMFU, démocratique sur papier, est assurée dans les faits exclusivement par le Secrétaire général, militant d'extrême gauche. Celle-ci prenait seul des décisions qui devaient s'appliquer à toutes les micronations, même si elles n'avaient pas donné leur avis. En outre, même si les micronations avaient la possibilité de quitter l'OMFU « si ce système ne leur convient pas », il était très délicat voire impossible, dans les faits, de le faire. En somme, le Secrétaire général d'extrême gauche antidémocratique dirigeait de manière totalitaire une organisation qui limitait peu à peu toute la souveraineté des États membres. Le problème était donc de mettre hors d'état de nuire le Secrétaire général mais aussi de réformer une OMFU colonialiste.
Rocco Venti, politicien alors inexpérimenté, gagne de la popularité dans le parti. Il accepte d'ailleurs la proposition du chef national-démocrate, Wilfrid Orochi, de le nommer Premier ministre s'il est élu.
Le Parti National-Démocrate conclut une alliance des droites avec le parti « Union des Patriotes » afin de créer un bloc imposant face à la coalition de gauche de Dorian Skin, composé du parti communiste et du parti jugé socialiste.
Les élections ont été marquées par des tentatives de fraude de la coalition de gauche via l'invitation de doubles comptes, ouvertement communistes. Le président sortant et candidat Dorian Skin pousse avec succès le chef des droites Wilfrid Orochi à quitter le sol fierien, provoquant un froid dans l'Union des Droites. Malgré une tentative du président sortant d'empêcher la passation de la présidence du parti ; Rocco Venti, jusqu'alors en seconde position dans le parti, obtient le soutien des partisans pour assurer la présidence et il se déclare le candidat unique de la droite aux présidentielles.
Le président de parti et de coalition, Venti, réussira à souder la droite fierienne pendant tout son mandat.
Pendant son mandat présidentiel, Rocco Venti renomme le Parti National-Démocrate en Mouvement National Fierien.
Président de la République de Fiera
Le 7 juillet 2022, date historique de son ascension politique et sociale dans les micronations, Rocco Venti est élu président de la République avec 78,6%, un score écrasant et reflétant une victoire totale. Il compte bien profiter de sa majorité acquise au Parlement pour appliquer sa feuille de route avec détermination. Il nomme Enzo Da Costa, politicien et diplomate expérimenté, Premier ministre. Il nomme ses ministres en respectant une parité des deux partis de droite.
Le nouveau président a comme projet divers mesures dont la réforme de l'OMFU pour la rendre démocratique et souverainiste, et la révision totale de la Constitution. Il compte se charger personnellement de ces deux plus gros projets et se donne la charge des Affaires étrangères au sein du Gouvernement Venti I.
Tout en rédigeant la nouvelle Constitution, le nouveau président chargé de la diplomatie lutte pour la démocratie de l'OMFU en contactant les dirigeants souverainistes pour porter le projet de réforme de l'Organisation. Après des semaines de négociations, de débats, d'essais vains et autres, la République de Fiera se constitue une majorité d'alliés à l'Assemblée générale de l'OMFU. Le Secrétaire général totalitaire est destitué et son successeur, soutenu par l'alliance souverainiste, est élu largement. La réforme de l'OMFU tarde à venir à cause des nouvelles dérives autoritaires du nouveau Secrétaire général. Malgré sa démission, il manque de détruire le serveur Discord de l'OMFU. Rocco Venti, membre du Conseil, prend les choses en main et sauve l'Organisation en changeant de serveur hôte. Pendant cette longue réforme, il renoue des liens avec Wilfrid Orochi, désormais élu Premier ministre de la Principauté de Neustrie, membre de l'Organisation.
En parallèle, le président Venti propose le vaste projet de révision constitutionnelle au Parlement, qui l'accepte largement. Son mandat sera marqué par une opposition farouche et systématique des partisans d'extrême gauche dont fait partie la seule membre et présidente du Conseil constitutionnel. Celle-ci tente d'invalider chaque texte du Gouvernement pour mettre des bâtons dans les roues au président, le ton monte rapidement.
Son mandat se finit difficilement et le président sortant assure l'intérim en attendant l'organisation d'élections par le Conseil constitutionnel. Pourtant, ce dernier organise avec les partisans de gauche un coup d'État contre le président, qui est contraint à l'exil. Rocco Venti laissera un message au monde micronational dans lequel il dira que Fiera n'a plus d'État et que la gestion de ce pays est désormais une totale vanité.
Député du Parlement de Fiera
Rocco Venti, après son engagement au Parti National-Démocrate, devient député à l'Assemblée micronationale. Il participe à l'opposition majoritaire au président de l'alliance de gauche, Dorian Skin.
Il convainc tous les députés de droite de se réunir pour faire front commun au Gouvernement d'extrême gauche.
Enracinement en Principauté de Neustrie
Rocco Venti, semblant un politicien à la retraite, obtient sa citoyenneté en Principauté de Neustrie, dirigée alors par son compagnon Wilfrid Orochi, avec qui il a combattu pour réformer l'OMFU. Il crée une entreprise de journalisme pour aider au développement de cette micronation. Il prend sa carte au Parti National-Démocrate de Neustrie, mais se rend compte des divergences politiques, notamment sur les questions conservatrices, avec le Premier ministre national-démocrate de Neustrie. Il se froisse avec lui et l'ancien président fierien quitte la Neustrie après avoir insulté M. Orochi.
Rocco Venti revient en Neustrie quelques semaines plus tard et présente ses excuses au Premier ministre, qui les accepte et l'accueille une deuxième fois dans la micronation.
Cet ancien politicien fierien, devenu très expérimenté, semble déterminé à apporter son aide à la Principauté et à son dirigeant, comme il l'a déjà fait à la présidence de la République de Fiera…
Court passage en République de Zergue Étant lui-même chrétien catholique, Rocco Venti prend sa carte au Parti des Chrétiens de Gauche en République de Zergue. Grâce à son expérience politique et à sa popularité à travers le monde micronational qui en résultait, il gagne en soutien dans ce jeune parti et en devient le vice-président.
Finalement, voulant se consacrer exclusivement à la Principauté de Neustrie, cet ancien chef d'État quitte le parti et abandonne sa citoyenneté Zerguoise.
Journaliste et entrepreuneur intermicronational
Rocco Venti est également un journaliste et entrepreuneur à travers les micronations.
Il est le directeur général du Neustrien Indépendant, entreprise de journalisme basé en Principauté de Neustrie. À son départ de Neustrie, l'entreprise est nationalisée.
Il a été aussi le journaliste, puis rédacteur en chef, puis directeur adjoint et enfin directeur général des journaux l'Immédiat & Le Point Express.
Il fut enfin le membre du Comité d'administration de l'Agence Inter-Micronationale de Presse, dirigée par deux associés dont M. Venti. Il est aussi le journaliste de cette même agence de presse.
Relations avec Wilfrid Orochi
Tout le long de son parcours politique, il aura eu une relation plus ou moins tendue et plus ou moins amicale avec Wilfrid Orochi. Rocco Venti dira que ce duo le faisait penser à un duo Margaret Thatcher / Charles de Gaulle. En effet, cet ancien président de Fiera remarquera que : 1. Il a été élu président d'une République, comme Charles de Gaulle, à 78% des suffrages ; 2. il répétait, comme le Général, la formule "il n'y a plus d'État" ; 3. Ils étaient tous deux remplis d'une légitimité incontestable qui se traduisait en une détermination féroce de suivre sa feuille de route ; 4. Tous deux avaient les mêmes opinions politiques souverainistes, nationales, patriotes, et tantôt libérales, tantôt sociales.
En parallèle, Wilfrid Orochi est, comme Margaret Thatcher : 1. un dirigeant nouveau : premier chef de Gouvernement de Neustrie, de la même façon que Thatcher soit la première femme à accéder à Downing Street ; 3. le Premier ministre d'un État à monarchie parlementaire constitutionnelle 4. Très ferme dans ses propos et sa politique Souverainiste et nationaliste, menant des négociations musclées avec les diplomates internationaux, à l'instar de Thatcher dans sa négociation avec la Communauté économique européenne.
De ce fait, les relations entre les deux sont parfois dures mais restent bienveillantes. En tant que partisans du Parti National-Démocrate, les deux se trouvent beaucoup de points communs d'un point de vue idéologique. En tant que dirigeants chacun de leur micronation, les deux sont de proches alliés.